Parfois, nos pensées tristes, nos souvenirs douloureux, les évènements difficiles rencontrés sur la route de notre vie se posent en nous comme des oiseaux noirs qui veulent y habiter.
Des oiseux fidèles qui refusent de nous quitter.
Lorsqu'on arrive à les chasser, ils reviennent pour se réinstaller.
La vie n'a jamais été rose et ne le sera jamais.
Elle ne peut pas être une belle route couverte de fleurs de différentes couleurs.
La vie est comme les routes de ma ville, pleines de trous. Parfois on arrive à les éviter lorsqu'on s'aperçoit avant d'y arriver, mais la plupart du temps ces trous nous bousculent pour nous éveiller, pour nous obliger à ralentir ou pour qu'on soit plus attentionné aux risques qu'on peut rencontrer sur notre trajet.
Des routes qui peuvent être inondées, par les gouttelettes de pluies inattendues. A ces eaux s'ajoutent d'autres emmagasinées, qui émergent pour écouler, mélangées aux eaux des nouvelles pluies, et on ne sait plus lesquelles remplissent nos routes.
Ces eaux qui deviennent abondantes sont comme les mots innocents d'apparence ou les gestes non prémédités qui font appel à nos autres blessures, pour ressurgir tous nos larmes en espérant avec elles tout évacuer.
Des routes qui suffoquent à la chaleur de l'été. Une chaleur qui fait fondre le goudron noir de l'asphalte et qui se colle à nos pieds ou aux talons de nos sandales et on n'arrive plus à les nettoyer tellement ils sont souillés et à jamais.
Ces même routes seront pour quelques jours de l'année, renouvelées, avec un habit neuf aux trais blanc éclatants. Des drapeaux sur les deux cotés, comme si les routes ont eux mêmes conscience de l'arrivée d'une grande personnalité ou d'un évènement particulier.
Revenant aux oiseaux noirs fidèles à nos peines et nos malheurs. Leur couleur obscure qu'on veut parfois chasser sans y arriver, ne sont qu'une partie du jardin de notre vie.
Dans ce jardin volent d'autres oiseaux, avec des couleurs différentes et très variés. Ces oiseaux chantent chacun à sa manière annonçant l'arrivée du printemps. Appelant nos yeux à voir tous les cotés et ne pas rester focaliser sur la couleur obscure qu'on veut chasser.
La noirceur n'est autre que le mélange de toutes les couleurs. On ne peut pas apprécier le rouge, le bleu, le vert et même le violet sans les comparer avec les autres couleurs moins gaies.
Et comme me disait une amie, la vie est comme un verre qu'ont voit parfois vide. Mais pour pouvoir surpasser ses malheurs, et apprécier nos vies, oublions le vide dans nos verres , et regardons les bons moments que représente l'autre moitié qui est pleine de cadeaux, de réussites et de joies.
Des oiseux fidèles qui refusent de nous quitter.
Lorsqu'on arrive à les chasser, ils reviennent pour se réinstaller.
La vie n'a jamais été rose et ne le sera jamais.
Elle ne peut pas être une belle route couverte de fleurs de différentes couleurs.
La vie est comme les routes de ma ville, pleines de trous. Parfois on arrive à les éviter lorsqu'on s'aperçoit avant d'y arriver, mais la plupart du temps ces trous nous bousculent pour nous éveiller, pour nous obliger à ralentir ou pour qu'on soit plus attentionné aux risques qu'on peut rencontrer sur notre trajet.
Des routes qui peuvent être inondées, par les gouttelettes de pluies inattendues. A ces eaux s'ajoutent d'autres emmagasinées, qui émergent pour écouler, mélangées aux eaux des nouvelles pluies, et on ne sait plus lesquelles remplissent nos routes.
Ces eaux qui deviennent abondantes sont comme les mots innocents d'apparence ou les gestes non prémédités qui font appel à nos autres blessures, pour ressurgir tous nos larmes en espérant avec elles tout évacuer.
Des routes qui suffoquent à la chaleur de l'été. Une chaleur qui fait fondre le goudron noir de l'asphalte et qui se colle à nos pieds ou aux talons de nos sandales et on n'arrive plus à les nettoyer tellement ils sont souillés et à jamais.
Ces même routes seront pour quelques jours de l'année, renouvelées, avec un habit neuf aux trais blanc éclatants. Des drapeaux sur les deux cotés, comme si les routes ont eux mêmes conscience de l'arrivée d'une grande personnalité ou d'un évènement particulier.
Revenant aux oiseaux noirs fidèles à nos peines et nos malheurs. Leur couleur obscure qu'on veut parfois chasser sans y arriver, ne sont qu'une partie du jardin de notre vie.
Dans ce jardin volent d'autres oiseaux, avec des couleurs différentes et très variés. Ces oiseaux chantent chacun à sa manière annonçant l'arrivée du printemps. Appelant nos yeux à voir tous les cotés et ne pas rester focaliser sur la couleur obscure qu'on veut chasser.
La noirceur n'est autre que le mélange de toutes les couleurs. On ne peut pas apprécier le rouge, le bleu, le vert et même le violet sans les comparer avec les autres couleurs moins gaies.
Et comme me disait une amie, la vie est comme un verre qu'ont voit parfois vide. Mais pour pouvoir surpasser ses malheurs, et apprécier nos vies, oublions le vide dans nos verres , et regardons les bons moments que représente l'autre moitié qui est pleine de cadeaux, de réussites et de joies.
Malgré tout je regarde toujours le verre "à moitié plein" et rarement "à moitié vide" !
RépondreSupprimerBakhta
La vie, c'est la vie avec ses moments de bonheur ou de peines et ses moitiés pleine et vide. Selon nos humeurs notre vision de la vie peut changer...
RépondreSupprimerLa vie ne vaut pas la peine d'etre vecue si on la vie pas comme dans un reve. Comme il y'a une moitié vide du verre .. il y'a aussi une moitié pleine. Et c'est pas toujour dimanche ..
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