mardi 27 octobre 2009

Prends soin de toi


Comment t'aider?
Comment te soutenir?
Comment effacer cette ride sur ton front?
Comment te rendre ton sourire, ton humour, ta joie de vivre?
Comment te faire oublier tes peines, tes soucies?
Comment t'enlever, te kidnapper?
.....

Tu es loin et je suis impuissante, tu es triste et je suis incapable de redessiner un sourire.

Toi, tu pense à elle et moi je pense à toi. Pas de la même façon mais je ne sais pas.
Est ce que l'amour peut rendre triste à ce point?
Est ce que l'amour peut rendre faible à ce point?
Est ce qu'il fait mal à ce point?
Je le maudis cet amour s'il te prends ton bonheur, s'il prend ton sommeil, ton sourire et ta joie de vivre.

Je t'ai connu avant de l'aimer et je t'ai connu après. Et à travers toi, votre amour et votre passion ,j'ai aimer aimer, j'ai espéré sentir ce que vous sentez, J'ai voulu rêver comme vous le faisiez, j'ai tenté de sortir mes illusions et mes folies vers la réalité..... Mais est ce que je le veux encore?

Elle ne voudra jamais te voir dans cet état. Elle t'aime, t'adore mais ne veux jamais voir cette peine dans tes yeux, cette douleur dans ton cœur, elle veut juste que tu sois là, pour elle et avec elle. Elle a juste besoin de ta force, de ton soutien et de ta présence. Elle veut juste que tu la prennes dans tes bras, que tu l'embrasse sur le cou, qu'elle laisse tomber sa tête et ses cheveux que tu aime toucher et caresser sur ton épaule et entendre ton cœur battre pour elle. Elle veut pleurer en riant. Elle veut criez en se taisant.Elle veut juste oublier tout le monde autour de vous pour vivre et savourer chaque moment.

Alors pour tout ce qui vous unissait, pour tout ce qui vous liait, sortez de ce fond, sortez de cet état, et juste dis moi comment je pourrai t'aider pour tout dépasser, il y a surement une solution que j'ai pas trouvé.

samedi 24 octobre 2009

Les facettes de mon moi..


En créant ce blog je pensais à un espace où je présente mes joies et mes peines, ma réalité et mes rêves, le mélange de folies et de raisons qui est en moi, ma facette cachée que je peux plus garder pour moi et qu'il n'y a que moi qui connais ses secrets.

C'est un regard vers l'avenir en ayant ce passé et ce présent tout à coté.

Je penses toujours que j'ai fait les bons choix (mais est ce vraiment mes choix?), je ne m'autocritiques que rarement, et je ne trouve aucun besoin à avoir des regrets, car je penses que chaque sourire, chaque rire , chaque colère, chaque larme, chaque peine, chaque folie même les plus déraisonnables.....font partie de ma vie et font aussi partie de moi, et c'est moi qui n'a pas pu grandir et devenir adulte à l'intérieur où je cache parfois un enfant avec toute son innocence et sa spontanéité, parfois un adolescent avec ses sautées d'humeurs et ses révoltes pour rien et pour tout, tout ça sous l'image d'une femme respectueuse, raisonnable même trop parfois,qui sais faire ses choix et qui les assume, une femme très sure d'elle et de ses convictions...


En parlant de moi, je savais que j'évoquerai pas mal de contradictions qui sont dans ma personnalité, je suis pas unique, je suis double ou même triple. Et je demande parfois ,est ce qu'un miroir peut percevoir toutes les facettes de mon moi.

Je suis à la fois douce, trop rêveuse et qui a la tête dans les nuages et en même temps j'ai bien les pieds sur terre, je planifie, je programme, je surveille..... je veux être un bébé gâtée, chouchoutée, cajolée mais aussi écoutée et respectée.....j'aime les défis, les grands défis que parfois on pense que ça sera impossible que je puisse les réalisés, mais je m'y attache et je lâche jamais. J'ai une perception de la vie pas trop commune, un mélange de raison et de folie injoignable. Je suis parfois rigolote, sociable, animatrice et parfois renfermée, solitaire, insupportable.

mercredi 21 octobre 2009

J'en ai marre de ma vie


Parfois une sensation de malaise s'empare de tout mon être. Ces jours ci je me sens mal dans ma peau, j'en ai marre.
Je me sens étouffée, perdue, fatiguée, épuisée.... il n'y a pas une cause précise, mais rien ne me plais.
Ma vie est si chargée, maison, enfants, étude, boulot... j'ai pas un moment à consacrer à moi, à mes loisirs, à un film à regarder dans le calme, à un livre à lire sans interruption , à une journée à passer dans une salle de sport, chez l'esthéticienne ou même dans un salon de coiffure, à un café ou un déjeuner partagé avec des amis (mais est ce que j'ai vraiment des amis avec qui sortir?)....

Je fais tout, la maman, la femme de ménage, la cuisinière, la maitresse des enfants, le chauffeur, le souffre douleur de maman... et pour en ajouter je dirais même que je dois être disponible pour les plaisirs demonsieur.Toutes ces taches sont, selon tous les droits de l'homme ou les droits de travail, dans tous les pays du monde, rémunérées, mais moi je fais tout et je reçois rien.

Une femme qui se respecte ne devrai pas dire ça, mais c'est ce que je sens. Quand la routine s'installe, quand le dialogue n'est plus là, quand l'amour ne deviens qu'une tache de tous les jours,rien n'a aucun sens.

Je sens que je suis au services des autres et que je n'existe que pour faire plaisir à tous ceux qui m'entourent, je le fais par plaisir, car j'aime les voir tous heureux et satisfaits, mais n'ai je pas des droits moi aussi? n'ai je pas le droit à un bon mot de gratitude? n'ai je pas le droit à une surprise, à un cadeau, à une sortie? Je ne veux rien de matériel ça ne compte pas trop pour moi. Mais je veux qu'on me fait sentir que j'existe car moi je ne le sens plus, je veux vivre dans un rêve dans une folie même pour une journée, je veux un peu de romantisme et ce n'est pas trop demandé, je veux qu'on s'intéresse à ce que j'aime et c'est pas si magique. Je suis encore une enfant qu'une fleur, un bonbon, un chocolat,ou une poignée de main lui fait oublier toutes ses peines....

Je peux réclamer tout ça, et je peux l'avoir ou en avoir une partie, mais ça n'aura pas le même sens, le même gout.

C'est la vie, c'est ma vie, est ce que je peux m'en échapper? je l'ai pensé pas mal de fois, de tout laisser tomber, de filer ou de m'enfuir, de chercher ce que je veux ou ce que je souhaite ailleurs.... mais je croix que je n'aurai jamais le courage, car au fond, je pense que je suis, en partie, moi même responsable de cette vie.

Heureusement que j'ai encore mes rêves, qu'un jour tout changera, ou mes folies qui basculent dans ma tête et qui me mènent très loin, très loin vers cette lumière que je vois ou peut être que j'imagine au bout de ce tunnel.

dimanche 18 octobre 2009

Peut-on demander à un homme de nous aimer?


Lorsque les mots nous font rêver, lorsqu'un nom nous fait vibrer, lorsqu'une bise irréelle nous fait danser, lorsqu'une rencontre on espérait, lorsqu'à un café on s'attendait....
Là on ne fait que mendier, une attention qui ne peut jamais arriver, mais est ce que l'on s'attendait? est ce que l'on voulait?

ET la question se pose, est ce qu'on peut demander à un homme de nous aimer?

Au XXIème siècle, la femme se considère égale à l'homme, elle prend l'initiative dans plusieurs domaines et elle s'affirme.
Par ailleurs , le domaine des sentiments reste sans égalité, inchangé et peut être in-changeable.

Je ne peut pas généraliser, mais je parle au moins de la société qui m'entoure, que j'observe et que j'analyse (avec mes pauvres moyens et mes modestes connaissances). Notre homme reste toujours le même, avec tous les bla bla bla qu'il peut raconter. Il veux se voir comme le premier dans la conquête d'une nouvelle terre. Il veut être celui qui choisi et celui qui l'annonce.Il veut charmer, éblouir et surprendre...

Peut il accepter des avances? peut il accepter des sentiments qu'il ne peut partager? Peut il ne pas juger?....

Alors chères femmes, vous ne gagnerez rien en jouant la libertine, vous ne gagnerez rien en vous offrant, en vous donnant, vous ne gagnerez rien en étant la première à dire je t'aime....

Vous gagnerez un jugement qui ne vous fera jamais enchanté, une peine que vous risquez de ne jamais oublier.... Alors laissons les nos chers hommes commencer, laissons les découvrir nos cœurs qu'il croyaient gelés, laissons les nous charmer, nous chercher, laissons les croire qu'ils sont dans tout les premiers.... car nous avons nos secrets de les mener à nos cœurs sans se risquer.

Désolée pour les hommes qui liront cette note, les secrets, nos secrets, vous croyez les connaitre? mais en réalité vous ne connaissez rien.

mardi 13 octobre 2009

SCORPION (et fière de l'être!!!)

Je suis scorpion et je suis vraiment fière de l'être. ces vers piqués à "citations-images974.skyrock.com"( après sa permission bien sur)me décrivent à merveille, avec quelques modérations sur certains points..



Scorpion, maître des ENFERS et de PLUTON
Suscitant L'EFFROI comme L'ADMIRATION.

Tu sèmes la HAINE et la CONFUSION
Le Zodiaque te met souvent en ACCUSATION.

Scorpion signe de l'AUTO-DESTRUCTION
Trop EXTRÉMISTE dans tes IMPULSIONS.

ANGOISSES, PESSIMISMES et CONTRADICTIONS
Tes deux moteurs : VIOLENCE et PASSION.

Scorpion doué pour toutes les professions
Où tu braves la MORT et la RÉINCARNATION
Le cosmos, la psycho ou l'informatisation
Policier, psychiatre ou dons de guérison

Tu sais bien faire tourner les guéridons.
Scorpion crise de HAINE et de PASSION

Tu vis l'amour comme une POSSESSION
EXCLUSIF et ABSOLU dans tes EXALTATIONS.

JALOUSIE, TOURMENTE, tu crains la TRAHISON
Plutôt crever que demander PARDON.

INCISIF, tu nous piques de ton AIGUILLON
Tu joues avec nos nerfs à la PERFECTION.

Méfie-toi, Scorpion Dieu fera l'addition
Toi le roi du business et des machinations

Tu seras peut-être enterré au PANTHÉON
Tu finiras peut-être tes jours en prison.

lundi 12 octobre 2009

Entre le soleil et la lune



Un beau matin, avec un ciel dégagé, la lune et le soleil se rencontraient.
La lune qui a, toute la nuit, veillé sur deux cœurs amoureux et deux corps enlacés, refusait de partir.
Le soleil, avec toute son ardeur, voulait prendre sa place pour arrêter le rêve et appeler à la réalité.

Pas loin un homme qui a veillé, sous les draps de la lune et entre les bras de sa bien aimée, arrêta sa voiture pour mémoriser ce débat entre la lune et le soleil.

La lune qui n'a pas réalisé que les heures ont passé, l'ivresse de la nuit la laissa clouée, ronde, belle, souriante ... refusa de croire que la nuit est terminée avec la lueur de la journée, et le soleil qui sortait pour tout arrêter.

Elle cria fort dans l'espoir de le persuader, de ses arguments que notre homme connaissait.


- Oh cher soleil ! N’est ce pas encore tôt pour commencer la journée ? J’ai veillé sur eux quand ils tenaient les mains pour te voir partir derrière l'horizon. Sur ta dernière lueur ils ont échangé leur premier baiser. J'ai entendu leurs cœurs quand tu étais pressé. J’ai entendu les mots qu'ils se disaient sans parler. J'ai vu leurs yeux qui brillaient dans l'obscurité. J'ai enveloppé leurs corps qui se dévoilaient. J'ai encore allumé l'amour qui les brulait. J'ai éteint les étoiles, coupé les lumières, fermé les portes pour juste les illuminer. Leurs parfums et leurs sueurs se mélangeaient, avec des bougies qui n'ont pas pu résister. J’aurai espéré que cette ivresse continue jusqu'à l'éternité.

- Ma petite lune, regarde le attristé, dans sa voiture coincé pendant que les autres passaient. Ta présence le fait rêver, entre l'envie de prendre la route ou retourner la retrouver. Ta présence lui donne à penser, que la journée n'a pas commencé. C’est de ma lumière que tu a pu veiller et c'est ma chaleur qui les a ensorcelé. Mais je suis là, je suis la réalité. Le rêve c'est juste pour pouvoir continuer. Pour pouvoir espérer que je vais bientôt m'éclipser. Mes rayons chauffent et éveillent, rappellent tous les amoureux à la raison, à leur vie et à leurs obligations.

- Grand soleil, tu es mon maitre, sans toi je ne pourrai plus illuminer les nuits des amoureux, accorder l’inspiration aux poètes, accompagner la traversée des voyageurs ... mais laisse-moi encore quelques heures, laissez les encore profiter de leur séjour, loin de tous les lieux, contempler encore une fois ton lever entre la mer et ces oliviers.

- Ne t'en fait pas, ils reviendront un jour, pour nous admirer, car c'est ici que j'ai perçu notre cher Cupidon avec sa flèche, qui jetait son sort avec un grand bouquet de fleurs. C'est entre cette mer et ces oliviers qu'ils ont découvert leur amour, qu'ils se sont promis d'être unis pour toujours. Alors à chaque fois qu'ils le pourront, ils seront là pour fêter la naissance de leur nouvelle vie.

Le soleil prend sa place et la lune disparait, tout le monde s'éveille tout autour, et notre homme reprend le volant avec une musique qu'elle a choisi pour lui. Sur des centaines de kilomètres il a revu sa vie avec un sourire qui se dessinait sur ses lèvres et de temps à autre il respirait son parfum qui lui collait encore et qui lui rappelle ses courbes et ses câlins. Puis la vie reprend son train train, mais la lune bien qu'on ne la voit plus sous les rayons du soleil elle est bien là à veiller sur les rêves et les espoirs.

La vie a une multitude de facettes, et à chaque moment son charme. Qu'on soit proche ou lointain, ni la lune ni le soleil ne peut effacer un sentiment qui s'est gravé à jamais dans nos cœurs.

jeudi 8 octobre 2009

Un mot à mon père


Je voulais juste dire que tu me manque trop, que tu m'as laissé un vide énorme depuis presque quatre ans déjà.

J'ai vu cet après midi un film sur le combat d'une femme contre le cancer, et ça m'a fait revivre tes trois derniers mois.
Tu ne savais rien sur ta maladie, et je ne sais pas si on avait raison de te le cacher.On a pensé, mes frères et moi, que ça sera moins douloureux, moins stressant, mais une situation plus dure s'est présenté, l'espoir, la sensation qu'on t'a délaissé, qu'on ne faisait pas ce qu'il fallait pour que tu puisse reprendre ton appétit, ta force, ton dynamisme....

Ton regard me faisait mal, à ta fille que tu as toujours gâtée, protégée, défendue, soutenue....ta fille que tu a applaudi sa réussite avant juste une semaine de ta mort et c'est à toi qu'elle dédie toutes ses réussites.

Et puis une nuit, peut être sous l'effet de la morphine, ont a passé toute la soirée à coté de ton lit, et tu nous racontais ta vie, on a rigolé, plaisanté et c'était notre soirée d'adieu pour te retrouver le lendemain allongé sans vie. Et tu es parti, si loin, vers l'inconnu....

Juste pardon papa ont a fait tout ce qu'on pouvait, mais le sentiment d'impuissance est si dur parfois plus que les douleurs de la maladie elle même.

Tu seras toujours là, dans mon cœur, et je serais toujours ta fille dont tu es fier, car tu lui a apprit d'être elle même et d'être fidèle à ses convictions et ses principes mêmes si tout le monde ne les partagent pas avec elle.

dimanche 4 octobre 2009

Rapports adolescents-parents


Le passage entre l'enfance et l'age adulte n'est pas si facile, ni pour l'enfant lui même ni pour sa famille.
L'enfance est en général considérée comme une période plus ou moins calme, l'enfant est protégé par la famille, les institutions sociales.... C'est le temps de l'amour, de l'amitié, des découvertes... et cela malgré les quelques frustrations dues à la dépendance de l'enfant à ses parents.

On peut par exemple citer la crise d'opposition à l'age de trois ans dont parle Charlotte Buhler, cette crise s'exprime comme un besoin de reconnaissance et d'affirmation de soi, mais en même temps elle traduit une quête d'amour et d'estime de la part d'autrui.

A partir de la puberté, les enfants aspirent à autre chose sans savoir quoi. Cette aspiration on peut la trouver dans toutes les activités, les comportements qui deviennent ennuyeux et représentent un sujet de conflit avec les parents.
Les premiers signes d'oppositions apparaissent sous forme d'insolance et de repliques vives qui rendent les parents dans une situation de gène: il existe une sorte de fossé entre le monde narcissique du jeune adolescent et son besoin de communication sociale, et faute d'une entente avec les parents il va essayer de la trouver chez les pairs ou ailleurs.

Cette relation entre adolescent et parents est en étroit rapport avec les familles qu'on peut classer en quatre grand modèles(selon une étude faite sur 7 pays arabes):

*Les familles aisées modernes qui bénéficient de ressources économiques et culturelles élévées ce qui permet aux adolescents une autonomie et une expérience sociale en dehors du milieu familial, mais on note un manque de dialogue et de rapport interpersonnel entre les membres de la famille et une forte tendance à la consommation.

*Les familles traditionnelles aisées dont les ressources économiques sont élevées et culturelles modestes.L'attachement aux traditions apparait dans la domination des hommes et la domination familiale sur les adolescents et surtout les adolescentes que le parcourt d'étude est généralement écourté à cause des mariages précoces.

*Les familles modernes modernistes dont les ressources économiques sont relativement faible et ressouces culturelles acceptables ou élevées, ce type de famille est celui qui fourni à l'adolescent plus de de moyens pour la formation de soi qui se fait grace au dialogue entre les menbres de la famille.

*Les familles traditionnelles pauvres, les adolescents sont généralement confrentés à un sexisme trés fort et à une domination et parfois une violence des pères ou des grands frères, et l'adolescent se trouve obliger d'assumer trés tôt des respensabilités familiales.

Comprendre le mécanisme de cette période délicate de la vie de l'être humain pourra permettre ensuite, ou plutôt faciliter, la formation d'une personnalité plus proche de l'équilibre.

Ce sujet est si vaste ce qui nécessite une suite à cette note.

jeudi 1 octobre 2009

Quand les paroles changent les règles de la chimie


Parfois, je me trouve étonner par la façon de penser de certains.

Hier, pendant une soirée entre collègues, qui inventent des occasions pour se réunir en dehors des murs de nos lycées, vu qu'on est tous enseignantes, plusieurs sujets ont été traités.

L'un de ces sujets est le rapport entre l'être et son créateur.Dans ce genre de discussion je suis plutôt spectatrice car la différence d'idées et de convictions est pour moi de la nature des choses. Et comme les miennes ne me concernent que moi, je ne me sens pas obliger de les échanger bien que j'essaye d'être neutre pour ne pas choquer les âmes sensibles, pas par manque d'informations ou de connaissances mais juste parce que je suis comme disent quelques proches hors les normes sociales.

En plus des sujets habituels concernant la prière, le port du voile, les relations conjugales...une remarque m'a laisser sans parole, ou plutôt m'a poussé à parler.
Selon l'une de mes collègues, il y avait une étude scientifique, qu'elle avait soit disant lu quelque part, sur la composition de l'eau, ce fameux H2O, il apparait selon cette étude qu'il suffit de dire "besmellah" face à ce verre d'eau avant de le boire, sa composition change, et d'autres éléments s'y ajoutent comme ça par pure magie et l'eau devient un produit bénéfique à la santé.


Alors là, c'est trop. Si ces paroles étaient sorties de la bouche de n'importe qui je l'aurai toléré, mais que ça soit une pensée d'une prof, qui a fait au moins 17 ans d'études, ça devient intolérable, impensable et inadmissible...

Quel avenir peut on espérer? et quels pauvres jeunes nous auront dans quelques décennies s'ils sont éduqués à accepter des débilités pareilles venant de leurs profs?