Quand l’envi l’emporte, tout s’arrête autour de lui. L’homme sage, raisonnable, stricte disparait complètement. Des étincelles étranges illuminent ses yeux, fixent la femme qu’il aime et il ne trouve que quelques mots à lui dire « viens ici chérie… approche ».
Elle le suit, il a un magnétisme si fort qu’elle n’a jamais pu lui résister. Elle perd tout contrôle sur elle-même ou sur sa personne. Elle se trouve emportée vers un monde parallèle, un monde sans dimensions, c’est un état second qu’elle n’a jamais connu.
Il se colle à elle, lève ses bras hauts et les faits passés autour de son cou. Il aime la sentir, la caresser, l’embrasser, la gouter. Il adore ses gestes et ses mots qu’elle ne peut prononcer. Il prend son temps pour la dévêtir, enlevé tout ces tissus qui puissent les séparer. Il reste un long moment à admirer son corps étendu sur le lit où il l’a déposé. Et quand il s’allonge à ses cotés, rien ne peut les arrêter. Avec elle, il ne fait que partager, toutes les acrobaties qu’il n’a jamais imaginées.
……….
Ce gémissement final ne peut jamais être oublié. C’est seulement à ce moment qu’il pense ne plus la quitter. Ce sont des souvenirs gravés dans son cœur et dans son corps pour l’éternité. Il peut à chaque moment les raconter, avec les petits détails qu’il ne croyait pas s’en rappeler. Et c’est toujours un sourire qui se dessine sur ses lèvres et qu’il ne peut pas le cacher. Une sensation de guerrier qui vient d’emporter son trophée.
La première fois qu’il l’a appelé à s’approcher, c’était dans son bureau où il travaillait. Ses collègues s’activaient autour de lui, mais pour lui elle seule comptait. Et c’était un moment inoubliable qu’ils ont partagé, et par le passage vers le magasin d’à coté couronné. C’est seulement eux deux qui savent qu’est ce qu’il allait chercher, c’était si nécessaire avant de rentrer.
Cette tunique turquoise qu’elle aime porter. Qu’il déteste voir sur sa peau dorée, et à chaque fois il a hâte de la débarrasser, de cette couleur qui le dégoutait, pour s’enivrer de son miel qu’il n’arrête jamais de gouter. Au fond de lui et sans jamais le dire, il l’adore cette tunique turquoise qu’il dit détester.
Des jours et des jours ils ont passé à chercher un petit nid d’amour juste pour eux deux. Beaucoup de choix ont été éliminés. Dans leurs rêves, ça doit être un lieu particulier. Un lieu où ils peuvent s’admirer, s’aimer, se libérer, où ils peuvent être seulement eux deux.
……..
Et la lecture est terminée…
Ce n’était qu’une histoire racontée, dans quelques pages jaunes qu’il a trouvé, entre les livres sérieux qui remplissaient sa bibliothèque… Des pages découpées d’un livre inachevé… Une histoire qui n’a ni un début ni une fin… Des pages qui n’ont pas de place dans le monde des grands qu’il voulait construire autour de lui. Et il se demande comment une telle banalité a pu s’infiltrer, ou ce n’est peut être qu’une partie de lui qu’il veut toujours nier.
Toujours orgueilleux, il passe ces pauvres pages sur cette machine installée auprès de son clavier. Il voyait les lames d’acier qui découpaient les mots d’une histoire inachevée, les transformer en petits morceaux que le vent éparpillait pour se perdre à jamais. Ce n’est qu’une guillotine pour papier, sur un coup, elle ne laisse aucune trace de vie.
Et il se place devant les étagères de sa bibliothèque, le sourire sur les lèvres, il ne voyait que des grands livres, des grands auteurs. Il essayait de se convaincre qu’il a bien fait. Pas de place pour des histoires inachevées, dans son monde que seul lui veut créer en dessinant ses lois et ses limites à ne pas dépasser.
Elle le suit, il a un magnétisme si fort qu’elle n’a jamais pu lui résister. Elle perd tout contrôle sur elle-même ou sur sa personne. Elle se trouve emportée vers un monde parallèle, un monde sans dimensions, c’est un état second qu’elle n’a jamais connu.
Il se colle à elle, lève ses bras hauts et les faits passés autour de son cou. Il aime la sentir, la caresser, l’embrasser, la gouter. Il adore ses gestes et ses mots qu’elle ne peut prononcer. Il prend son temps pour la dévêtir, enlevé tout ces tissus qui puissent les séparer. Il reste un long moment à admirer son corps étendu sur le lit où il l’a déposé. Et quand il s’allonge à ses cotés, rien ne peut les arrêter. Avec elle, il ne fait que partager, toutes les acrobaties qu’il n’a jamais imaginées.
……….
Ce gémissement final ne peut jamais être oublié. C’est seulement à ce moment qu’il pense ne plus la quitter. Ce sont des souvenirs gravés dans son cœur et dans son corps pour l’éternité. Il peut à chaque moment les raconter, avec les petits détails qu’il ne croyait pas s’en rappeler. Et c’est toujours un sourire qui se dessine sur ses lèvres et qu’il ne peut pas le cacher. Une sensation de guerrier qui vient d’emporter son trophée.
La première fois qu’il l’a appelé à s’approcher, c’était dans son bureau où il travaillait. Ses collègues s’activaient autour de lui, mais pour lui elle seule comptait. Et c’était un moment inoubliable qu’ils ont partagé, et par le passage vers le magasin d’à coté couronné. C’est seulement eux deux qui savent qu’est ce qu’il allait chercher, c’était si nécessaire avant de rentrer.
Cette tunique turquoise qu’elle aime porter. Qu’il déteste voir sur sa peau dorée, et à chaque fois il a hâte de la débarrasser, de cette couleur qui le dégoutait, pour s’enivrer de son miel qu’il n’arrête jamais de gouter. Au fond de lui et sans jamais le dire, il l’adore cette tunique turquoise qu’il dit détester.
Des jours et des jours ils ont passé à chercher un petit nid d’amour juste pour eux deux. Beaucoup de choix ont été éliminés. Dans leurs rêves, ça doit être un lieu particulier. Un lieu où ils peuvent s’admirer, s’aimer, se libérer, où ils peuvent être seulement eux deux.
……..
Et la lecture est terminée…
Ce n’était qu’une histoire racontée, dans quelques pages jaunes qu’il a trouvé, entre les livres sérieux qui remplissaient sa bibliothèque… Des pages découpées d’un livre inachevé… Une histoire qui n’a ni un début ni une fin… Des pages qui n’ont pas de place dans le monde des grands qu’il voulait construire autour de lui. Et il se demande comment une telle banalité a pu s’infiltrer, ou ce n’est peut être qu’une partie de lui qu’il veut toujours nier.
Toujours orgueilleux, il passe ces pauvres pages sur cette machine installée auprès de son clavier. Il voyait les lames d’acier qui découpaient les mots d’une histoire inachevée, les transformer en petits morceaux que le vent éparpillait pour se perdre à jamais. Ce n’est qu’une guillotine pour papier, sur un coup, elle ne laisse aucune trace de vie.
Et il se place devant les étagères de sa bibliothèque, le sourire sur les lèvres, il ne voyait que des grands livres, des grands auteurs. Il essayait de se convaincre qu’il a bien fait. Pas de place pour des histoires inachevées, dans son monde que seul lui veut créer en dessinant ses lois et ses limites à ne pas dépasser.
tu l'as bien dis, ces histoires inachevées n'ont pas place dans le chaos de notre vie, les découper est la meilleure solution pour s'intéresser à notre misérable vie...
RépondreSupprimerquoique, belle note..
Même inachevées, ces histoires font partie de la vie. Même découpée en mille morceaux, elles ont bien existé.
RépondreSupprimerCes histoires apportent parfois un sourire qu'on voit se dessiner, ou des larmes qu'on sent couler sans le vouloir. Et parce qu'elles sont inachevées ces histoires, elles permettent de rêver, de mettre des milliers de si... Pour écrire milles suites et milles fins...
Au moins il en a exprimé des désirs inavoués dans ses pages sans fin... c'est joli et c'est vrai...
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