Tu oublieras,
Nos musiques adorées, nos chansons écoutées et nos peines partagées…
Tu oublieras,
Nos promesses prononcées, nos vœux désirés et nos rêves non réalisés…
Tu oublieras,
Nos longues nuits d’hivers, où on se réchauffait le cœur, sans oser fermer l'oeil…
Tu oublieras,
Mes rires et mes plaisirs, mes folies et mes désirs, et l’amour que je t’avais porté…
Tu oublieras,
Mes larmes que j’ai pleurées, mes joies que j’ai criées, quand tu me tenais à toi…
Tu oublieras,
Nos mots prononcés, nos silences qui duraient, nos retrouvailles adorées, sans pour un moment douter…
Tu oublieras,
Que dans tes veines j’ai coulé, que dans les miennes tu habitais et qu’on avait en canicule frissonné…
Tu oublieras,
La main que tu m’as tendue, pour me donner espoir, dans une vie que je voyais en noir…
Tu oublieras,
Une larme que tu as essuyée, quand sur ton épaule je pleurais et tu me serrais à toi…
Tu oublieras,
Que c’était un mois de mai, qui ne sera jamais effacé, mais qui sera juste oublié…
Tu oublieras,
Que c’était en juillet, quand ailleurs tu valsais, sur un pont je t’attendais et tu n’étais jamais arrivé…
Tu oublieras,
Les chaines qui te liaient, les promesses que tu jurais, et qu'il n'y a qu'une illusion de liberté...
Tu oublieras,
Nos doux baisers, que dans nos rêves on a désiré, et qu’on s’est mille fois échangé…
Tu oublieras,
Que souvent je t’emmerdais, souvent je te blessais et que tu ne voulais plus rien entendre de moi…
Tu oublieras,
Ce banc déserté, que personne n’osera approcher, le laissant en sang entamé, son dernier adieu…
Et tu te rappelleras des mots, que Lara criait dans l’une de ses splendides chansons : Tout, tout, tout est fini entre nous … Et les paroles que Mariot Pelchat a bien choisi : Je n’ t’aime plus…
Nos musiques adorées, nos chansons écoutées et nos peines partagées…
Tu oublieras,
Nos promesses prononcées, nos vœux désirés et nos rêves non réalisés…
Tu oublieras,
Nos longues nuits d’hivers, où on se réchauffait le cœur, sans oser fermer l'oeil…
Tu oublieras,
Mes rires et mes plaisirs, mes folies et mes désirs, et l’amour que je t’avais porté…
Tu oublieras,
Mes larmes que j’ai pleurées, mes joies que j’ai criées, quand tu me tenais à toi…
Tu oublieras,
Nos mots prononcés, nos silences qui duraient, nos retrouvailles adorées, sans pour un moment douter…
Tu oublieras,
Que dans tes veines j’ai coulé, que dans les miennes tu habitais et qu’on avait en canicule frissonné…
Tu oublieras,
La main que tu m’as tendue, pour me donner espoir, dans une vie que je voyais en noir…
Tu oublieras,
Une larme que tu as essuyée, quand sur ton épaule je pleurais et tu me serrais à toi…
Tu oublieras,
Que c’était un mois de mai, qui ne sera jamais effacé, mais qui sera juste oublié…
Tu oublieras,
Que c’était en juillet, quand ailleurs tu valsais, sur un pont je t’attendais et tu n’étais jamais arrivé…
Tu oublieras,
Les chaines qui te liaient, les promesses que tu jurais, et qu'il n'y a qu'une illusion de liberté...
Tu oublieras,
Nos doux baisers, que dans nos rêves on a désiré, et qu’on s’est mille fois échangé…
Tu oublieras,
Que souvent je t’emmerdais, souvent je te blessais et que tu ne voulais plus rien entendre de moi…
Tu oublieras,
Ce banc déserté, que personne n’osera approcher, le laissant en sang entamé, son dernier adieu…
Et tu te rappelleras des mots, que Lara criait dans l’une de ses splendides chansons : Tout, tout, tout est fini entre nous … Et les paroles que Mariot Pelchat a bien choisi : Je n’ t’aime plus…
j'aime beaucoup :) ça me parle :))))
RépondreSupprimer:))
ce texte exprime parfaitement ce que je ressens ces jours ci un beau texte mélancolique!je te propose ce petit poème en guise de soutien http://chamsalassil.blogspot.com/2011/12/blog-post.html#links
RépondreSupprimer@ Michmécha et chams al assil
RépondreSupprimerCes mots destinés à l'autre ne sont que des mots qu'on essaye nous même d'être convaincu de leur utilité...
Merci chams pour le lien, j'ai dévoré tout ton blog en totalité hier soir et ça m'a tellement plu... Bonne continuation